L’Hôtel De La Plage (3)

Marco

Depuis quatre ans je viens travailler six semaines pendant l'été à l'Hôtel de la Plage. Je remplace le chef qui prend ses vacances avec sa petite famille et part souvent faire le tour de l'Europe en camping car. Je suis arrivé dans le Golfe du Morbihan un peu par hasard, je fais une saison à la montagne l'hiver et une saison à la mer l'été pour garder du temps livre entre les deux et voyager. Je me suis tout de suite bien entendu avec Aude et Jean, les propriétaires et Yann le frère de Jean qui vient donner un coup de main à la belle saison tout en profitant des joies de la plage. Pour en profiter d'ailleurs il en profite. Je venais d'arriver la veille, le premier été passé à l'hôtel, et le lendemain matin, tôt, alors que le service du petit-déjeuner était à peu près en place j'ai eu envie d'aller explorer les environs et peut-être me baigner bien que pour moi, d'origine italienne, l'eau de la Bretagne soit souvent beaucoup trop froide.

J'avais un peu cherché des petits chemins pour descendre sur des grèves qui me semblaient désertes. Il faisait un temps superbe, la mer était comme de l'huile, de ce calme si particulier des premières heures du jour. J'avais fini par trouver un sentier caché par les ajoncs et après quelques mètres de dénivelé un peu acrobatique j'étais arrivé sur une minuscule place de sable blanc. La lumière était tellement pur que je me serais cru sous les tropiques, les reflets de l'eau turquoise étaient d'une irrésistible beauté.

Comme toujours je me mets à poil et je plonge dans l'eau, surpris par le froid mais il est trop tard. Je me dis que je serai plus prudent les prochaines fois. Pour me réchauffer je nage énergiquement et bientôt je n'ai plus que d'intenses sensations de plaisir. L'eau coule sur ma peau, le paysage est sublime. En forme je nage deux à trois cents mètres pour contourner une petite pointe rocheuse derrière laquelle je découvre une autre plage de sable blanc, aussi belle que celle où j'ai laissé mes affaires.

Je distingue un corps de mec allongé sur le sable, de là où je suis j'ai l'impression qu'il est à poil lui aussi mais je ne suis pas sur. 9a ne coûte rien d'aller voir. Je nage encore quelques minutes et fais mine de découvrir par hasard la plage occupée par le garçon. Je sors de l'eau, ruisselant, et regarde dans sa direction. Il est appuyé sur ses avant-bras, les jambes un peu écartées et j'ai la confirmation qu'il ne porte pas de maillot. Nos regards se se croisent d'un peu loin mais je sens une petite déchargé électrique dans ma queue.

Je marche de long en large au bord de l'eau et vais m'assoir sur un rocher qui ferme la petite anse, en choisissant une position qui me permet de regarder la mer, ce pour quoi je suis venu....et de mâter plus précisément le mec allongé qui se révèle tout à fait bandant. Une bonne trentaine, musclé sans excès et poilu sur le torse, le ventre et les jambes. Ma langues a envie de caresser cette douce fourrure.

Je suis assis sur le rocher et le mec ne peut pas voir mon pénis dressé entre mes cuisses. En tout cas je ne lui ai pas encore offert de point de vue. Lui en revanche n'a pas bougé. Mes yeux quittent l'horizon pour venir se poser sur son sexe. Millimètre par millimètre le pénis s'allonge. Posé sur les couilles rasées, il commence à se dresser. Je vois chaque impulsion convoqué dans cette queue pleine de désir. 30, 40 degrés d'inclinaison, 45 puis les choses s'accélèrent et la verge se dresse rapidement à la verticale en même temps qu'elle prend du volume. Le pieu est appétissant, encore protégé par un prépuce long mais je sens les pulsations de l'érection comme si ma main était posé sur le sexe du beau poilu.
Il ne se masturbe pas, excité à fond par le fait de me montrer son excitation et fier de sa queue.

Je ne peux pas faire celui qui ne remarque rien. Je me tourne un peu vers lui pour qu'il ait la vue sur l'intérieur de mes cuisses, je pose mes mains derrière moi sur le rocher, me penche un peu en arrière pour lui montrer à mon tour ma queue.
Alors il découvre ce qui fait baver tous les mecs : ma verge de 24 centimètres, épaisse, dressée elle aussi vers le ciel. De là où il est il ne peut pas voir le lubrifiant briller au soleil mais j'ai déjà bien mouillé en l'admirant exhiber son érection sous mes yeux.

Je regarde autour de moi. Tout es calme. Nous sommes encore seuls sur la plage. Je vais vers lui, il ne bouge pas et je sens ses yeux collés sur le balancement de ma queue. Sans un mot, arrivé devant lui je lui souris, je me mets à quatre pattes entre ses jambes écartées et je pose mes lèvres sur son prépuce. Je le découvre et descend tout le long de la colonne de chair. Il sursaute, sensible à cette première prise de contact. Puis j'enchaine les mouvements de haut en bas. Il pose ses mains dans mes cheveux et m'accompagne, accélérant mes mouvements de succion ou les ralentissant au contraire. Je lui lèche les couilles, je les serre dans ma main pendant que ma langue se concentre sur son gland juteux. Le jeu dure plusieurs longues minutes et je me régale à bouffer cette queue sublime et inattendue. Je suis plein d'énergie, il me plait et j'ai vraiment envie de lui faire plaisir.

- je vais jouir
Il me prévient mais j'avais compris aux crispations de son sexe dans ma bouche. Je parviens presque à l'avaler tout entier et il aime venir cogner son gros gland bien au fond de gorge.

- Je Viens !!!!!!

Je ferme mes lèvres sur le pénis brulant qui me remplit la bouche d'une crème chaude et soyeuse. Du bon jus de beau mec qui sait profiter de la vie. J'avale l'offrande comme un cadeau de bienvenue dans cette région inconnue. Je le lèche jusqu'à la dernière goutte. Il se renverse en arrière. Vaincu. Je me relève, et, debout, au-dessus de lui lui fais un sourire qui lui dit tout le plaisir que j'ai eu à le vider. Il me sourit à son tout et je lis dans son regard la promesse d'autre chose.

Je repars vers l'eau, le service m'attend et je n'ai pas trop des 500 mètres à parcourir jusqu'à mes vêtements pour calmer le feu que ce mec bandant a allumé en moi.


Je retrouve ma cuisine. Les premiers clients vont bientôt descendre prendre leur petit-déjeuner. Je suis plutôt content des brioches et des croissants que nous avons préparé avec Arthur, mon second. Le buffet est bien garni, décoré avec goût et nos préparations ouvrent l'appétit. Je ne vois pas le temps passer et il est dix heures quand l'activité matinale se calme un peu. Nous sommes déjà à fond dans la préparation du déjeuner.

Jean entre dans la cuisine.

- Marco, bravo pour ce petit déjeuner ! Tout le monde s'est régalé avec les viennoiseries et la brioche. C'est meilleur que ce que nous faisons livrer d'habitude par le boulanger.
- Merci ! Arthur a un vrai talent pour tout ça...
- alors félicitations Arthur. Mais vous êtes sur de vouloir préparer tout ça tous les matins ? Vous aurez le temps ? Je vous dis, on peut faire livrer....même si c'est moins bon
- Oui....sur.....nous assurons.....nous on aime les bonnes choses !
En pensant à çà je sens sur ma langue le goût du sperme du bel inconnu de la plage.

Jean reprend ;
- vous avez deux minutes quand même ?
- Oui
- Venez je vais vous présenter mon frère Yann qui est arrivé cette nuit. Il vient nous aider au pic de la saison. Nous sommes associés dans l'hôtel en fait.
- je vous suis
Nous allons dans le salon où quelques clients lisent le journal ou regardent des cartes de randonnée. Jean se dirige vers une table devant une des fenêtres qui donnent sur la mer. Mon sang ne fait qu'un tour. J'ai compris.

- Yann je te présente Marco, le nouveau chez qui passe l'été avec nous pendant les vacances d'Eric.

Il se retourne, nos regards se croisent, survoltés, lui surpris, moi un peu moins parce que je l'ai reconnu un dixième de seconde avant. Il me tend la main
- Bienvenue Marco, j'espère que vous vous plairez parmi nous
- Merci. J'en suis déjà convaincu.
Il soutient mon regard. Je bande à fond, heureusement que le tablier cache mon érection.

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